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Parcours d’engagement : pourquoi ils sont à l’Ufolep

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Les témoignages de six responsables associatifs de Guadeloupe, du Rhône, du Nord, de la Nièvre et du Loiret.

Josette Fautra, présidente du Tai Chi Petit Acajou, Les Abymes, Guadeloupe : « Nouvelle présidente de mon association, qui ne s’appelait pas encore le Tai Chi Petit Acajou, je cherchais une fédération pour établir nos licences. J’avais entendu parler de l’Ufolep par le biais d’associations sportives et dans les médias. Par la suite, nous avons été sollicités pour participer à des manifestations organisées par le comité de Guadeloupe. Et si nous sommes fidèles depuis 2011, c’est parce que j’ai rencontré des personnes compétentes, professionnelles, qui m’ont accueillie, conseillée et soutenue dans la gestion de mon association. J’apprécie aussi la dimension de solidarité de l’Ufolep et le fait qu’elle fédère des disciplines très diverses. »

Colette Almanini, 52 ans, licenciée au Twirling Bâton de Versaison, membre de la CTD du Rhône et de la CNS en charge de l’activité :  « Pratiquante, de twirling bâton, je cherchais une fédération plus conviviale et moins compétitrice que celle où j’étais licenciée. Je voulais aussi m’investir sur le long terme. J’ai commencé par être animatrice auprès de plusieurs associations, puis juge, puis j’ai postulé à la commission nationale sportive, que j’ai intégrée en 2009 et à laquelle j’appartiens toujours. Apporter mes connaissances et les mutualiser, c’est ce qui me motive ».

Flora Démaret, 26 ans, gymnaste, juge, trésorière de l’association GRS Caudry (Nord) et membre de la commission technique régionale : « Ma sœur et moi avons pris notre première licence Ufolep en GRS en 2003, grâce à notre cousine, qui nous a fait découvrir ce sport qu’elle pratiquait depuis plusieurs années. Ça nous a plu et nous ne sommes plus jamais parties. »

Vincent Darbeau, responsable de l’équipe de foot à 7 du Journal du Centre à Nevers (Nièvre) : « Ce qui m’a incité à m’investir à l’Ufolep, c’est la réglementation du championnat de foot à 7, notamment l’auto-arbitrage, qui colle à l’idée que nous avions, collectivement, de notre pratique, faite de partage, d’échanges et de convivialité. Une fois sur le terrain, la compétition reprend ses droits, mais passe après l’indispensable fair-play. Quant au sentiment d’appartenance, c’est avant tout de se retrouver, coéquipiers et adversaires, autour d’une vision commune du sport de compétition. Comme les équipes se rencontrent souvent jusqu’à cinq ou six fois par saison, de nombreux adversaires sont devenus des amis. »

Jean-Louis Chaumette, responsable de la commission technique tennis du Loiret :« Comme le dit ma compagne Claire Rabasse, elle-même présidente du club de pétanque Ufolep de Bouzy, ce qui fonde le sentiment d’appartenance à l’Ufolep, ce n’est pas seulement le côté "laïque et populaire" mais aussi et surtout "le plaisir et le loisir avant tout" ».

Gaëlle Simon, 42 ans présidente du Nevers Volley-Ball : « Pour moi, l’Ufolep c’est le sport pour tous, du loisir à la compétition, dans une ambiance conviviale, où les pratiquants confirmés aident et conseillent les débutants sans les écarter. Un esprit d’équipe qui transcende le niveau, l’âge, l’appartenance sociale. »


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