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"Je me souviens du sport ": Philippe Bordas, chantre de Zidane et des "Forcenés" du Tour

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Né en 1961 à Sarcelles (Val-d’Oise), Philippe Bordas a été journaliste vélo à L’Équipe (1984-1989) puis photographe, passionné notamment par les boxeurs et lutteurs africains (L’Afrique à poings nus, Seuil, 2004). En 2008, il publie Forcenés (Folio), ode au cyclisme d’antan. Il a signé depuis plusieurs romans, dont Chant furieux, consacré à Zinedine Zidane. Le sport a également droit de cité dans Les Parrhésiens (Gallimard 2025, 464 p., 25 €), où il met en scène dans son style profus et luxuriant des pratiquants d’une salle de gym de Montparnasse au verbe rabelaisien.

 

Je me souviens de Cyrille Guimard défiant Merckx, le petit David breton contre le Goliath de Bruxelles, les applications de choux bouilli sur son genou disloqué par l’usage des longues manivelles, l’approbation de ma grand-mère dans la cuisine surchauffée de Corrèze, quant au bénéfice des médecines naturelles.

Je me souviens de l’interdiction faite au jeune enfant de regarder la télévision après diner : les commentaires et cris du journaliste traversaient le mur séparant ma chambre du salon où mon père regarder le match des Verts de Saint-Etienne. J’avais quitté mon lit, collé l’oreille à la paroi, pour voler des bouts imparfaits de l’épopée. Par chance, nous vivions en HLM, les cloisons de basse qualité autorisaient mon petit espionnage nocturne.

Je me souviens de mon obsession enfantine à sauter, à toucher le plafond de ma chambre, à bondir sur les lits superposés et m’asseoir sur le matelas supérieur sous les yeux ébahis de ma sœur. Quand, à l’école, le prof de gym nous apprit les rudiments du saut en hauteur, j’avais tout de suite montré une détente supérieure. Deux copains, licenciés au club d’athlétisme de Sarcelles, m’amenèrent à l’entraînement et le coach me demanda de passer une barre à 1,50 m, que je passais facilement, sans savoir qu’il avait placé la barre dix centimètres plus haut. Ainsi m’échut la glorieuse tenue sportive de la ville nouvelle, un acrylique turquoise rugueux sur l’épiderme, agrémenté de bandes jaunes.

Je me souviens de la chute de Bernard Hinault dans le ravin du Dauphiné Libéré en 1977, et des commentaires du lendemain, dans la cour de récréation. J’ignorais que moins de dix ans plus tard je deviendrai chroniqueur du cyclisme au journal L’Équipe et serai désigné, en 1986, pour suivre ses adieux, durant cinq semaines, aux États-Unis, à travers la Californie, pour la Coors Classic et le championnat du monde de Colorado Springs.

Alors que je n’ai jamais aimé le foot et n’avais jamais vu un match, j’ai été mandaté, avant le Mondial de 2006, pour rester avec Zidane durant cent jours et réaliser un portrait photographique de long cours. J’allais le voir à Madrid, au centre d’entraînement du Real, je le retrouvais à Paris au George V... J’étais peu excité par ce sport, mais peu à peu, je suis devenu accro à la personnalité de Zizou. Après les premiers matchs, quand la France passait les obstacles, je fus envoyé d’urgence pour suivre l’exploit en cours. C’est ainsi que je vis France-Espagne et le réveil de Zidane marquant son premier but, et surtout son apothéose définitive, son moment de génie absolu : le match contre le Brésil où il gratifia les Brésiliens d’un récital à la limite de l’insoutenable. Ce jour-là, ayant vu le mieux, je décidai de ne plus jamais pénétrer dans un stade.

Je me souviens de mon entrée en littérature : j’espérais pouvoir écrire un livre de haute pensée, de belle cérébralité, mais très étrangement mon corps renâclait et c’est presque par impulsion physique, désir organique enfin libéré, que j’écrivis Forcenés, un opus à la seule gloire des champions cyclistes. C’est mon corps de sportif qui réclamait souterrainement ce phrasé, cette rythmique émanée des muscles et du cœur qui, depuis, demeure ma manière de remuer physiquement le français.


"Forcenés", Folio, 9€

La rentrée sportive Ufolep dans les starting-blocks

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Fête du sport – 14 septembre 2025 : focus sur cette initiative !

 

Avec la Fête du sport, qui naît le 14 septembre prochain, date symbolique – jour de parade des Champion.ne.s des Jeux de Paris 2024, une nouvelle dynamique démarre. Une des promesses qui s’inscrit dans l’Héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et de la Grande Cause Nationale 2024 où cette journée de célébration du sport est déterminée à devenir un temps fort fédérateur, accessible et festif.

 

Dans tous les territoires de France hexagonale, outremer et du réseau UFOLEP, l’ambition est partagée et les associations mobilisées : valoriser le sport comme levier de bien-être, de citoyenneté et de cohésion sociale. Les comités Ufolep s’associent et accompagneront les initiatives de notre réseau d’associations en lien avec les collectivités territoriales, des synergies déjà expérimentées pendant la période des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024.

 

Pour organisez un événement accessible à toutes et tous, demander le label national avant le 10 septembre 2025 et pour bénéficier d’outils de communication et d’une visibilité renforcée, rendez-vous sur le site du ministère des Sports.

 

Un village sport, festif, immersif et populaire sous l’égide du ministère des Sports, de la Vie associative et de la jeunesse, du CNOSF* et du CPSF*, se déroulera dans la capitale le même jour. Associé à l’ensemble des initiatives locales, ces temps forts contribueront à faire du 14 septembre un nouveau moment de partage, désormais inscrit dans le calendrier annuel.

 

À noter : cette Fête du sport s’inscrit dans un mois de rentrée particulièrement riche en événements entre forums associatifs, « Sentez-vous sport », semaine européenne du sport et journées paralympiques et scolaires.

 

Alors, à vos calendriers pour ce rendez-vous de bien-être, synonyme du Vivre-Ensemble où les maîtres mots seront mixité, émotions, collectif et inclusion !

 

Plus d’infos sur sports.gouv.fr 

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L’Ufolep partenaire des Euro Games Lyon 2025

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« Festival européen du sport, de l’inclusion et de la diversité », les Euro Games Lyon 2025 proposent du mercredi 23 au samedi 26 juillet des épreuves ouvertes à toutes et tous dans 37 disciplines. L’évènement est soutenu par les collectivités locales (Métropole du Grand Lyon, ville de Lyon, ville de Villeurbanne), la Dilcrah (délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT) et la Fédération sportive LGBT+. Pour sa part, l’Ufolep, fédération sportive de l’Egalité, déjà partenaire des Gay Games Paris 2018, et partenaire de la Pride House sur les JOP, contribuera à l’organisation des épreuves de gymnastique grâce à la mobilisation du comité Ufolep du Rhône et métropole de Lyon, animera un stand dans le « village » installé place du Maréchal Lyautey et participera aux conférences sur l’inclusion LGBTI+ dans le sport. 

L’Ufolep, soutient et s’associe à l’évènement des EuroGames 2025 forte de sa volonté de rendre le sport toujours plus accessible en direction des publics les plus éloignés du fait de stigmatisation, de paupérisation, de rejet, de racisme ou tout simplement d’intransigeance et d’ostracisme.

Plus d’infos sur : www.ufolep.org



Le Tour de France d'un écrivain en "Roues libres"

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« Mon enfance claquemurée enviait leur liberté, leur agilité, leur élégance, leur insolence à écumer en bande plus ou moins organisée. Des routes inconnues J’avais six ou sept ans et sans soupçonner leur souffrance, je m’évadais sur leurs porte-bagages (sic). » Un demi-siècle plus tard, sous le coup d’un retour de flamme devant le spectacle des empoignades d’un Pogačar et d’un Vingegaard, l’enfant devenu depuis journaliste et écrivain s’est glissé dans le peloton cycliste pour le raconter de l’intérieur en 60 textes courts. Portraits, tactiques, coulisses, situations et secrets de course… Le Tour de France comme si vous y étiez, tantôt dans la tête des champions, tantôt téléspectateur ou suiveur estival des géants de la route.

Roues libres, François-Guillaume Lorrain, éditions du Cerf, 246 pages, 19,90 €.



Le sport, psychologie d’une passion

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« Le sport est un miroir qui, de façon démultipliée, reflète les joies et les risques de notre société moderne. » C’est le postulat à partir duquel Jean-Christophe Seznec, médecin psychiatre, médecin du sport et ex-rugbyman amateur, nous invite à plonger dans la « psychologie d’une passion ». Car le sport n’est pas seulement une activité physique, mais aussi un révélateur de nos pulsions, de nos désirs d’accomplissement et de nos dérives collectives. De même, la pratique sportive peut autant engendrer une euphorie grisante qu’une détresse psychique, entre quête de performance obsessionnelle, sentiment d’échec, burn-out sportif et isolement. D’où l’intérêt de comprendre comment notre santé psychique, notre vécu émotionnel et les sollicitations intenses du corps s’articulent dans et autour de la pratique sportive, avec parfois de profondes répercussions sur notre bien-être individuel et notre vivre-ensemble.

L’auteur s’appuie pour cela sur des cas concrets, des observations de terrain et une grille d’analyse centrée sur l’équilibre émotionnel. Il examine ainsi la compulsion à l’entraînement de certains sportifs amateurs ou le rapport ambivalent à la compétition des adolescents, entre besoin de reconnaissance et peur de l’échec.

Cette démarche prend tout son sens au regard du parcours de Jean-Christophe Seznec. Médecin psychiatre, médecin du sport et enseignant à l’université Paris-V-Descartes, Seznec travaille notamment avec la Fédération française de cyclisme et celle de rugby, où il est actuellement responsable de la lutte contre le dopage et les addictions. Il sait rendre accessibles des concepts complexes, et pose les bonnes questions : « Pourquoi court-on : pour fuir ou pour se trouver ? » ; « Et quelle place accorder à la performance sans sacrifier le bien-être ? »

Ce questionnement éclaire les enjeux de santé mentale – déclarée Grande Cause nationale 2025 –, l’engouement actuel pour l’ultra-performance, ou bien encore l'instrumentalisation politique du sport, la psychologie sportive devient une clé de lecture pour comprendre notre époque. En conclusion, Jean-Christophe Seznec appelle à « retrouver le jeu, le plaisir, l’instant présent. À se libérer de la tyrannie des chiffres, des chronos, des comparaisons. Car le plus grand défi du sportif n’est pas de gagner… mais de durer. » Une philosophie du « mouvement durable », tournée vers l’équilibre plutôt que l’exploit. Heidi Hammer


Le sport, psychologie d’une passion, Jean-Christophe Seznec, 232 pages, Odile Jacob 22,90 €.

La revue En Jeu Ufolep de juillet 2025 est disponible : faire événement, plus qu’un slogan !

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Le nouveau numéro de la revue En Jeu de l’Ufolep est arrivé ! Ce mois-ci, cap sur les évènements qui font battre le cœur de la fédération et rythment la vie associative tout au long de l’année.

À travers un dossier central consacré aux temps forts de l’Ufolep, la revue interroge les multiples formes que peut prendre l’engagement fédéral dans l’espace public.  Playa Tour, Festival du sport autrement, Quinzaine sport et petite enfance… Autant d’initiatives qui témoignent d’un engagement à la croisée de la visibilité, des valeurs humanistes et de l’ancrage territorial. Sont-elles de simples vitrines ou bien des leviers de transformation durable ? Ce numéro explore les rôles que jouent ces évènements dans la diffusion des messages portés par l’Ufolep et leur impact sur les territoires.

Marie Barsacq : « L’héritage des Jeux doit être vivant »

Invitée de ce numéro, Marie Barsacq, ministre des Sports de la Jeunesse et de la Vie associative et ancienne responsable de l’Héritage au sein du Cojop Paris 2024, livre une interview exclusive. Elle y revient sur le sens concret de « l’héritage olympique », entre ambitions nationales et défis locaux. Un regard précieux à l’heure de faire vivre les valeurs de Paris 2024 au-delà de l’événement.                       

Le terrain en action : 100 % de comités engagés

Coup de projecteur dans la rubrique terrain de la revue avec l’ambition d’un déploiement généralisé du Projet Sportif Fédéral 2024-2028 qui a été réaffirmée lors de l’Assemblée Générale du Creusot. Objectif : que chaque comité, départemental ou régional, porte ce projet au quotidien. Une dynamique collective déjà bien enclenchée sur le terrain.

Focus : le retour en grâce de l’intercrosse

Dans le nouveau numéro de la revue, un zoom a été réalisé sur l’intercrosse. Discipline éducative et inclusive par excellence, elle fait un retour remarqué dans les clubs Ufolep. Importée à la fin des années 1980, elle retrouve aujourd’hui un second souffle, alors que Lacrosse s’invite aux Jeux de Los Angeles 2028. L’occasion de réfléchir à l’avenir de cette variante sans contact, mixte et accessible à toutes et tous.

Cirque associatif : l’expérience Cirk’us Studio

Direction la Dordogne, à Marsac-sur-l’Isle, pour la rubrique réseau de la revue, avec l’école Cirk’us Studio qui mêle sport, art et inclusion. Ses spectacles de fin d’année attirent de plus en plus de curieux.ses. Un bel exemple d’alliance entre performance, bien-être et culture associative.

Tifany Huot-Marchand : se relever, coûte que coûte

Dans la rubrique « Je me souviens », la parole est donnée à Tifany Huot-Marchand, ancienne championne de short-track devenue paracycliste. Tétraplégique depuis une chute en 2022, elle retrace dans son livre Avec toute mon âme un parcours de résilience, de douleur, mais aussi d’espoir. Son nouveau défi : viser les Jeux paralympiques de Los Angeles 2028.

La revue En Jeu de juillet 2025 est à découvrir dès maintenant, en version papier dans les comités Ufolep ou en ligne sur le site officiel de la fédération. À lire, à partager, à faire vivre !  

 



Festival du Sport Autrement Ufolep, une 3ème édition qui a tenu toutes ses promesses !

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Le Festival du Sport Autrement, a été le point d’orgue de la saison socio sportive 2024-2025 Ufolep avec quatre évènements nationaux multisports et citoyens, organisés au Five de Marville - La Courneuve et à destination des publics engagés tout au long de l’année dans les dispositifs socio sportifs.

Du 12 juin au 22 juin 2025, la planète Ufolep a ainsi vécu au rythme du Festival du Sport Autrement. Après les 1ere édition et 2e édition de 2023 et 2024 qui ont réuni plus de 2 500 personnes à Paris au Five du 18ème, place à cette troisième édition qui s’inscrivait dans l’Héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Un engagement et une mobilisation au rendez-vous avec près de 1 250 personnes : 200 primo arrivant.e.s et réfugié.e.s du dispositif Primo-Sport, 350 femmes et enfants issus du dispositif Toutes Sportives, 100 jeunes engagé.es dans les programmes volontaires au sein de la fédération et 700 adolescentes et adolescents de territoires prioritaires urbains comme ruraux qui ont pris part à la finale Ufostreet.

Cette nouvelle édition du Festival du Sport Autrement a marqué une nouvelle fois l’engagement et la mobilisation de toutes les instances UFOLEP pour plus d’égalité, plus d’accès aux droits, plus d’émancipation et constitue un vrai plaidoyer en acte pour le Vivre ensemble. A noter à cet effet les présences des élu.e.s nationaux Ufolep comme avec Arnaud Jean, Président national Ufolep, Patrick Jany, Vice-président Sport société Ufolep et Elisabeth Delamoye, Secrétaire générale Ufolep.

A cette occasion, un programme riche et varié alternait des séquences d’olympiades sportives et culturelles sans oublier la course d’orientation grandeur nature dans Paris avec des temps d’échange, d’inspiration et de bonnes pratiques avec les intervenant.e.s tels :

  • Rayehane Mama Djedje, du Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR-UN) France ;
  • Hayatte Maazouza, Directrice du programme Beauty for a Better Life à la Fondation L'Oréal ;
  • Bolewa Sabourin, Danseur et chorégraphede l’association LOBA ;
  • Paul Odonnat et Bakary Sakho, deux entrepreneurs sociaux originaires du 19e arrondissement de Paris qui travaillent sur des projets sportifs, culturels et associatifs depuis une quinzaine d'années, autour notamment du basketball avec l’évènement "All Parisian games", de la littérature et de la production audiovisuelle comme avec les films :  La Cité Rose, qui est sorti en 2012, ou Mon Frère, sorti en 2019 ;
  • Zeyneb Sahri, Chargée de développement à l’Institut de l’engagement.

Une expérience enrichissante sous le signe de l’inspiration, de l'inclusion et de la bonne humeur ! Pour une accessibilité de tous les publics, que personne ne soit laissé de côté face aux enjeux d’inclusion, d’insertion, de bien-être et de lutte contre la sédentarité, mise en lumière des dispositifs qui ont été concernés par ce festival :

- les 12 et 13 juin 2025 : « Engagé.e », c’est le sourcing, l’accompagnement et la mise en situation de jeunes en service civique à fort potentiel d'engagement associatif.

- 16 et 17 juin 2025 : « Toutes Sportives », c’est redonner du sens à l’effort et l’activité physique et sportive par des programmes d’activités dédiés aux femmes de milieu urbain et rural qui visent une pratique sportive avec plaisir et pédagogie positive ;

- 18 et 19 juin 2025 : « Primo-sport », ce sont trois programmes d’accompagnement sportif et d'inclusion dans une démarche d'intégration pour les primo-arrivant.e.s, avec des objectifs différents : l’accès à une pratique sportive régulière, apprendre la citoyenneté par le sport et se former aux métiers du sport et/ou au secourisme ;

- 21 et 22 juin 2025 : « Ufostreet », est un dispositif de l’UFOLEP dédié au public adolescent (de 12 à 17 ans) afin de proposer une offre de pratiques de proximité autour des cultures dites urbaines. Il s'agit du plus gros rassemblement urbain de France avec 100 équipes.

Bravo aux comités, associations et structures spécialisées UFOLEP qui préparent depuis des mois leurs délégations à ces rencontres et qui œuvrent quotidiennement à la réalisation de ces séjours inoubliables ! Un engagement indéfectible qui se met en œuvre tout au long de la saison sportive dans les comités départementaux UFOLEP ou associations affiliées.

Cet évènement d'envergure est rendu possible grâce au soutien du ministère en charge des Sports, du ministère de l’Intérieur, de l'Agence Nationale de la Cohésion des Territoires (ANCT), en partenariat avec l'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration (OFII), la Fondation Alice Milliat, l'Agence nationale du Service Civique, l'Agence Nationale pour les Chèques-Vacances (ANCV) et le Five.

Plus d’infos : www.ufolep.org



Passion Skate

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À la fois guide et beau-livre, cet ouvrage hybride aux superbes photos noir et blanc fait plonger dans la culture skate à l’invitation de David Couliau, vétéran skateur et auteur-réalisateur à l’initiative du Paris Surf Skatefboard Film Festival. Avec aussi les conseils pratiques du champion Vincent Milou, qui a participé aux derniers Jeux olympiques.


Skateboard, comprendre et progresser, Paulsen Jeunesse, 208 pages, 26,90 €.

Lacs des Pyrénées

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Et si, à un sommet, on préférait un lac comme but de randonnée ? François Laurens, photographe natif de Luchon (Haute-Garonne), en propose 40 de tous niveaux pour découvrir l’ouest des Pyrénées, côté français et côté espagnol. Certains lacs sont des classiques, comme le lac de Gaube, d’autres plus confidentiels. Et rien qu’à tourner les pages, tous nous apaisent.


Lacs des Pyrénées, Vol.2 Ouest, Glénat 192 pages, 26 €.

Matchs inoubliables

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J’y étais repose sur cette très bonne idée, mise en musique par Jean-Karl Lucas, musicien du duo pop Madame Monsieur : raconter « tous ces matchs que l’on n’oublie pas » par la voix de ceux qui y ont assisté. Une collection forcément subjective qui débute avec un OM-ASSE millésime 1957 (4-3) et s’achève avec la déchirante séances de penalties de la finale du Mondial 2022. De quoi revivre les épopées européennes des Verts, de Bastia, de Bordeaux, de l’OM, de Monaco, du PSG, et les grands matchs des Bleus. On pourra regretter d’ailleurs que des rencontres moins fameuses ne figurent pas au répertoire. Coup de cœur en revanche pour le récit du PSG-Real Madrid du jeudi 18 mars 1993 (4-1), celui de la tête qualificative d’Antoine Kombouaré, pour sa dramaturgie mais aussi pour la confession sincère de Joseph, 46 ans, qui ce jour-là était l’un des 46 000 spectateurs en liesse du Parc des Princes mais dont la passion s’éteignit ensuite sans qu’il n’oublie cette « précieuse » heure-et demie là.


J’y étais, ces matchs qu’on n’oublie pas, Jean-Karl Lucas, En Exergue, 228 pages, 24,90 €.

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